• Sondage : +5 points pour Hollande,

    +3 points pour Valls

    <figure> Sondage : +5 points pour Hollande, +3 points pour Valls <figcaption class="caption"> Les cotes de popularité de François Hollande et Manuel Valls ont gagné respectivement 5 et 3 points en quinze jours.
    AFP
    </figcaption> </figure>
     

     

    L es cotes de popularité de François Hollande et Manuel Valls ont gagné respectivement 5 et 3 points en quinze jours, à 28 et 41%, selon un sondage BVA pour Orange et iTELE publié samedi.

    A l'inverse, 71% des personnes interrogées ont une "mauvaise" opinion du chef de l'Etat (-5 points) et 58% du Premier ministre (-3 pts). François Hollande gagne 8 points de bonnes opinions chez les sympathisants de gauche (63%), Manuel Valls 5 points (64%). En cas de baisse significative du chômage, 24% des sondés souhaiteraient que François Hollande se représente à l'élection présidentielle de 2017, contre 75% qui ne le souhaitent pas. Les sympathisants de gauche sont partagés sur la question: 49% souhaiteraient sa candidature, contre 48% qui ne la souhaitent pas. D'après le même sondage, la politique menée par le président et le gouvernement est jugée "juste" par seulement 28% des sondés, contre 69% qui pensent le contraire, et "efficace" par 20% contre 79%.

     

    Sarkozy en hausse

    Par ailleurs, Nicolas Sarkozy passe devant Alain Juppé comme homme politique disposant de la cote d'influence la plus élevée auprès des sympathisants des Républicains (ex-UMP). Le président du parti gagne 6 points par rapport à juin, à 76%, tandis que l'ancien Premier ministre reste à 75% et se trouve à égalité avec la présidente du FMI et ancienne ministre de l'Economie Christine Lagarde. Enquête réalisée auprès d'un échantillon de 1 058 personnes représentatif de la population française (méthode des quotas) âgée de 18 ans et plus, recrutées par téléphone puis interrogées par internet les 15 et 16 juillet.


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  • Présidentielle : 77% des Français ne souhaitent pas que Hollande se représente

    Le vote interne des socialistes, jeudi, a conforté la ligne du gouvernement, et le chef de l’Etat se prépare déjà à être candidat à sa succession. Même si les Français ne souhaitent pas qu’il se représente selon notre sondage. 

    Eric hacquemand | 22 Mai 2015, 22h42 | MAJ : 22 Mai 2015, 22h52  lien

    <figure> François Hollande le 21 mai 2015 à Riga (Lettonie) <figcaption class="articleChapeau">François Hollande le 21 mai 2015 à Riga (Lettonie) (AFP/ALAIN JOCARD)</figcaption> </figure>

    François Hollande a des fourmis dans les jambes. Le chef de l’Etat a déminé le congrès du PS, mais la route vers l’élection présidentielle de 2017 est encore longue, et la course d’obstacles loin d’être terminée. Selon le sondage Odoxa réalisé pour notre journal et i  télé, 77 % des Français ne souhaitent pas qu’il se présente à nouveau dans deux ans.

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    Certes, l’horizon se dégage à gauche avec la cinglante défaite, jeudi soir lors du vote interne sur les motions, des frondeurs du PS. « L’idée d’organiser des primaires à gauche pour 2017 est désormais définitivement enterrée », claironne un conseiller présidentiel. Après trois années de cauchemars électoraux, l’essentiel était d’éviter d’être sanctionné par les socialistes eux-mêmes. « La première condition, c’était de stabiliser. C’est fait », se satisfait ainsi le secrétaire d’Etat Thierry Mandon. « Désormais, il n’y a plus de doute possible », renchérit Jean-Marie Le Guen, chargé des Relations avec le Parlement. Mais la modération avec laquelle François Hollande et Manuel Valls ont pris le résultat en dit long sur la fragilité de l’édifice. Moins d’un socialiste sur deux s’est en effet déplacé. « C’est un vote de légitimité, pas un blanc-seing », reconnaît-on dans l’entourage du chef de l’Etat. Ce que notre sondage vient d’ailleurs conforter. Seulement 44 % des sympathisants de gauche souhaitent que François Hollande brigue un second mandat. C’est 16 points de plus qu’en octobre 2014 (28%), mais cela reste minoritaire.

    Raison de plus pour ne pas traîner en route alors que Nicolas Sarkozy, le week-end prochain, s’apprête à transformer le congrès de l’UMP en véritable show. Les Français l’ont bien vu. Pour 58 % d’entre eux, François Hollande est entré en campagne. Qu’il est loin, le temps où, un soir de février 2012 devant 10 000 supporteurs survoltés au Grand-Quevilly (Seine-Maritime), le candidat Hollande moquait Nicolas Sarkozy : « Le président candidat est désormais candidat président. Quel bouleversement ! » Après sa tournée aux Antilles et son discours de Carcassonne (Aude) mardi, Hollande est dans le viseur de Sarkozy, qui dénonce « la confusion des genres ».

    L’entourage présidentiel a beau souligner que le chef de l’Etat ne fait qu’expliquer son action en rencontrant sur le terrain les Français, Hollande est bel et bien parti à la reconquête des déçus. Par petites touches. « Il installe la tonalité, le fond de scène de sa campagne », souffle un vieux compagnon de route. D’abord, il a déterré le discours du Bourget dans lequel il avait déclaré que la finance était son ennemie. Mercredi, le président a même invité ses ministres à le relire…

    Ensuite, il lâche du lest. « J’ai considéré que le temps d’une forme de redistribution était venu », a-t-il lancé mardi dans l’Aude. Mercredi, c’était donc à 38 000 chômeurs seniors de se voir offrir une prime de 300 € par mois. Hollande ne se déplace d’ailleurs plus les poches vides. Le 28 mai, à Limoges (comme en Alsace ou en Midi-Pyrénées récemment), c’est lui qui apportera les 400 millions du contrat de plan entre l’Etat et la région. Sans oublier, enfin, la stature. Mercredi prochain, l’entrée au Panthéon de Pierre Brossolette, Germaine Tillion, Geneviève de Gaulle-Anthonioz et Jean Zay permettra à Hollande d’insister de nouveau sur la République, le rassemblement des Français, etc. En père de la nation, bien sûr, et en candidat.


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  • Le jugement des Français

    sur François Hollande reste

    massivement négatif

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    <figure class="article-picture thumbnail ta-c bg-light-grey" data-exclu="" data-surtitre="Politique"> Près de sept sondés sur dix (69%) mettent en avant une absence de résultats économiques et sociaux. <figcaption class="legend ta-l"> Près de sept sondés sur dix (69%) mettent en avant une absence de résultats économiques et sociaux. (Crédits : GONZALO FUENTES) </figcaption> </figure> <section class="signature"> latribune.fr  |  <time datetime="2015-05-02CEST11:24:00+0200" itemprop="datePublished"> 02/05/2015, 11:24 </time>  -  387  mots </section> <section class="chapeau"> François Hollande fêtera le 6 mai le troisième anniversaire de son élection à la présidence de la République. Selon un sondage CSA, seules 18% des personnes interrogées souhaitent que le chef de l'Etat soit candidat à sa propre succession lors de l'élection présidentielle de 2017. </section> <section class="contenu-article" itemprop="articleBody"> <aside class="img-links-wrapper">

    </aside></section><section class="contenu-article" itemprop="articleBody">

    Le jugement des Français sur le bilan de François Hollande, qui fêtera le 6 mai le troisième anniversaire de son élection à la présidence de la République, reste massivement négatif, selon un sondage CSA pour le site internet d'informations Atlantico.

    Seules 18% des personnes interrogées du 28 au 30 avril souhaitent que le chef de l'Etat soit candidat à sa propre succession lors de l'élection présidentielle de 2017, contre 81% d'un avis contraire.

    Même une majorité de ses électeurs du premier tour de 2012 (54%) disent ne pas souhaiter sa candidature, contre 45% qui le verraient bien briguer un deuxième mandat.

    Le jugement des Français s'est certes légèrement amélioré depuis mai 2014 mais seulement 19% des sondés jugent son bilan positif (+5 points par rapport à il y a un an).

     
     

    Les jugements négatifs restent massivement majoritaires : 81% (-5 points par rapport à 2014).

    Près de sept sondés sur dix (69%) mettent en avant une absence de résultats économiques et sociaux, un reproche encore plus sensible (76%) chez ceux qui avaient voté pour lui au premier tour en 2012.

    Parmi ces électeurs, 46% l'accusent de ne pas réformer le pays en profondeur et 40% de mener une autre politique que celle pour laquelle il a été élu. Et il ne sont que 34% (-4 points) à estimer qu'il mène une politique de gauche et 24% (-6) qu'il tient ses promesses de campagne.

    Seuls 16% de l'ensemble des sondés (+ un point) pensent qu'il est capable de réformer et 12% qu'il tient ses promesses de campagne (-2 points).

    L'image de François Hollande semble en revanche bénéficier de sa gestion des attentats de janvier, qui ont fait 17 morts.

    La proportion des Français qui le jugent "à la hauteur des événements" progresse ainsi de 14 points en un an, à 28%. Ils sont plus nombreux à le trouver courageux (32%, +6 points), déterminé (32%, +4), honnête (38%, +6) et sympathique (45%, +6)

    "Ces résultats ne préfigurent pas de l'état de l'opinion publique à l'égard de François Hollande en 2017. Ils témoignent toutefois du long chemin qu'il lui reste à parcourir", commente Yves-Marie Cann, directeur de CSA chargé de l'opinion.

    "L'obtention de résultats sur le plan économique et social apparaît aujourd'hui comme la condition sine qua non d'une amélioration durable des jugements portés par les Français sur son action", ajoute cet analyste. (Reuters)

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  • 26 avril 2015

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    Sondage 2017 : Valls nettement préféré à Hollande

    Le Premier ministre Manuel Valls est la personnalité préférée des sympathisants de gauche pour 2017 (29%). Et Martine Aubry (19%) devance même d’un point François Hollande (18%)

    A l'inverse de ce qui va se passer à droite les 20 et 27 novembre 2016, il n'y aura pas de primaire à gauche pour désigner celui qui, en 2017, défendra les couleurs du camp progressiste. Certes, quelques socialistes – qui ne portent pas François Hollande dans leur cœur - ont essayé ces derniers mois de crédibiliser cette ­hypothèse singulière : on n'a jamais vu sous la Ve République un président sortant et désireux de se représenter contesté par son propre camp et invité à se soumettre au vote des militants. Tout indique donc qu'en 2017 le candidat du PS - même si la courbe du chômage ne s'inversait toujours pas d'ici là – s'appellera François Hollande.

    Il n'empêche : la gauche est plus que jamais plurielle. Le sondage qu'a réalisé l'Ifop pour le JDD le confirme spectaculairement. Effectuée du 13 au 16 avril 2015 auprès d'un échantillon national de 2.005 personnes, cette enquête a permis d'isoler un échantillon de 819 sympathisants de gauche, représentatif de l'ensemble des sensibilités. C'est une différence avec le sondage sur la primaire de la droite et du centre : les sympathisants du Front national n'avaient pas été pris en compte, par pure logique politique, dans un échantillon allant du MoDem aux amis de ­Nicolas Dupont-Aignan en ­passant par l'UDI et l'UMP.

    Ségolène Royal pas très loin

    Outre celui de François ­Hollande, six noms ont été ­soumis cette fois, à titre de test, aux sympathisants de gauche. Les résultats sont souvent surprenants, toujours instructifs. ­Globalement, quand on demande aux sympathisants de gauche (chacun ne pouvant citer qu'un nom) leur préférence, François Hollande, choisi par 18 % des ­sondés, arrive en troisième ­position seulement : il est ­devancé de 11 points par Manuel Valls et même d'un point par Martine Aubry. On retiendra aussi que, revenue de l'enfer quand on se souvient du début de ­quinquennat, Ségolène Royal (13%) n'est pas très loin, dans cette enquête, du chef de l'État.

    Proportionnellement, Manuel Valls (29% en moyenne) obtient ses trois meilleurs scores chez les hommes (32%), les employés (32%) et les 50-64 ans (31%). François Hollande (18% en moyenne) obtient, lui, ses meilleurs résultats chez les ouvriers (26%), les hommes (23%) et les 50-64 ans (21%).

    Hollande en délicatesse avec le peuple de gauche

    Le plus spectaculaire, c'est tout de même l'impact du Premier ministre dans l'électorat spécifiquement socialiste, où les procès en droitisation instruits contre lui ne "mordent" pas, semble-t-il : 37% des sympathisants du PS préféreraient en effet Valls en 2017, 27% restant fidèles à Hollande. Non moins étonnant : Valls est préféré à ­Hollande par les sympathisants du Front de gauche (15% contre 7%) et, plus encore, par les sympathisants d'Europe Écologie-Les Verts (18% contre… 1%!).

    Mais pas de malentendu : dans la séquence actuelle, au Front de gauche (le PC et ses alliés) comme chez les Verts, on ne veut a priori ni de Hollande ni de Valls. Les sympathisants du Front de gauche plébiscitent deux ­socialistes : Arnaud ­Montebourg, l'homme à la marinière (24%), juste devant ­Martine Aubry (23%). À Europe Écologie-Les Verts, trois femmes sont ­distinguées : la maire de Lille l'emporte haut la main (29%) devant Ségolène Royal (20%) et… l'ex-ministre du Logement Cécile Duflot (19%).

    Trois observations peuvent être ajoutées :
    1/ La gauche, clairement, se cherche. Aucun des ­frondeurs dûment répertoriés (Montebourg, Duflot, Hamon) ne réussit à s'imposer.
    2/ Manuel Valls – qui mettra, a-t-il dit, toutes ses forces dans la bataille en 2017 pour que ­François ­Hollande soit réélu – confirme qu'il jouit d'un statut à part, prometteur pour l'avenir.
    3/ Quant à François Hollande, il n'est pas aujourd'hui, note ­Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l'Ifop, "le candidat naturel" de la gauche même s'il a "toutes les cartes en main" pour s'imposer à elle demain.

    En l'état, comme en témoigne l'enquête de l'Ifop, les rapports du président et du peuple de gauche sont pour le moins ­délicats. Et même difficiles.

     


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  • France

    Les sympathisants de gauche ne veulent pas de François Hollande

    Mis à jour il y a 25 minutes

    François Hollande ne devrait pas se présenter à l'élection présidentielle de 2017, estiment des sympathisants de gauche dans un sondage. En cas de primaire, l'occupant de l'Elysée serait également à la traîne.

    Les sympathisants de gauche préféreraient d'autres personnalités à François Hollande pour l'élection présidentielle de 2017

    Les sympathisants de gauche préféreraient d'autres personnalités à François Hollande pour l'élection présidentielle de 2017
    Image: Keystone

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    Un sondage montre que 73% des sympathisants de gauche ne veulent pas que François Hollande se représente à l'élection présidentielle de 2017, selon une enquête OpinionWay pour Le Figaro samedi.

    A la question, «souhaitez-vous que François Hollande se représente à l'élection présidentielle de 2017,» 73% des sympathisants de gauche interrogés ont répondu «non», 27% «oui».

    Lors de ce même sondage, 81% des sympathisants de gauche ont répondu qu'ils «souhaitaient que le parti socialiste organise quand même des primaires pour désigner son candidat à la présidentielle si François Hollande se représente en 2017.» 18% ont dit «non».

    Dévancé par Valls et Aubry

    «S'il se soumettait à une primaire, François Hollande serait largement battu par Manuel Valls ou Martine Aubry», annonce le journal conservateur, toujours selon les résultats du sondage.

    «Dans l'hypothèse d'une primaire contre Martine Aubry, Arnaud Montebourg et l'écologiste Cécile Duflot, François Hollande (14 %) arrive 18 points derrière l'actuelle maire PS de Lille (32 %) mais devant l'ancien ministre de l'Économie (12 %), qui lui-même distance l'ancienne ministre du Logement (5 %)», détaille Le Figaro.

    Seul Montebourg

    «Seule configuration favorable au chef de l'État, constate le journal, celle où il se retrouverait seul face à Montebourg. Dans ce cas, Hollande l'emporterait à 24 % mais seulement avec deux points d'avance.»

    «À l'inverse, François Hollande serait nettement distancé si Manuel Valls devait entrer dans le jeu. Hollande, un seul point devant Montebourg, n'obtiendrait que 10 % derrière Valls à 31 % et Aubry à 28 %.», souligne le quotidien.

    Net rejet d'une nouvelle candidature

    Frédéric Micheau, directeur des études chez OpinionWay, note, selon Le Figaro, dans ce sondage «un net rejet d'une nouvelle candidature du chef de l'État, et un principe très soutenu de la primaire».

    Sondage réalisé par internet les 20 et 21 novembre auprès d'un échantillon de 1765 personnes, dont 446 sympathisants de gauche, représentatif de la population française adulte (méthode des quotas).

    (smk/afp/Newsnet)

    Créé: 22.11.2014, 07h30 

     


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