• Edward Snowden aurait demandé l'asile à l'Equateur

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      • Mis à jour <time data-ago="il y a 1 heure" data-original="le 23/06/2013 à 19:00" datetime="2013-06-23T19:00:12+02:00" itemprop="dateModified">le 23/06/2013 à 19:00</time>
      • Publié <time data-ago="il y a 9 heures" data-original="le 23/06/2013 à 11:27" datetime="2013-06-23T11:27:09+02:00" itemprop="datePublished">le 23/06/2013 à 11:27</time>
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    Des journalistes montrent aux passagers du vol Hongkong-Moscou la photo d'Edward Snowden, pour savoir s'il était à bord.
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    EN BREF
    • Edward Snowden a quitté Hongkong pour Moscou, aidé par WikiLeaks, selon les agences russes.
    • Il n'a cependant pas été aperçu à l'aéroport de Moscou à son arrivée.
    • Edward Snowden a sollicité l'asile auprès de l'Equateur, selon le ministre des Affaires étrangères équatorien
    • Edward Snowden a révélé que les Etats-Unis espionnaient les échanges de SMS en Chine
    • Pékin et Hongkong exigent des explications de Washington
     

    La fuite de l'ancien consultant de la NSA ayant révélé le scandale Prism continue. Après avoir trouvé refuge à Hongkong le 20 mai, Edward Snowden aurait pris ce dimanche matin un vol régulier de la compagnie Aeroflot reliant le territoire chinois à Moscou, selon plusieurs médias. Mais la capitale russe ne serait pas sa destination finale. Selon Aeroflot, Ed Snowden devrait repartir pour La Havane, d'où il prendrait un avion pour Caracas. La justice américaine a annoncé dimanche qu'elle coopérerait avec les pays où l'ancien consultant de la NSA pourrait se rendre.

    Mais dimanche, à l'aéroport de Moscou, les journalistes s'interrogent. L'Américain semble s'être évaporé: il n'était pas parmi les passagers du vol SU213 d'Aeroflot qui franchissaient le contrôle des passeports au terminal F de l'aéroport de Moscou - Cheremetievo. Plusieurs passagers ont affirmé avoir vu une voiture garée sur le tarmac à côté de l'avion, ce qui pourrait indiquer qu'il a quitté l'aéroport de cette manière. Des journalistes ont également vu une voiture diplomatique portant un drapeau équatorien devant le terminal, accompagnée d'un 4X4.

    A 18h40, c'est sur Twitter qu'une annonce tombe. Selon le ministre des Affaires étrangères équatorien, «le gouvernement de l'Equateur a reçu une demande d'asile de la part d'Edward Snowden». L'ambassadeur d'Equateur en Russie, Patricio Alberto Chavez Zavala, est arrivé dimanche dans un hôtel de l'aéroport pour rencontrer l'informaticien. Quito a déjà accordé l'asile politique au fondateur de WikiLeaks, Julian Assange.

    Demande d'informations

    À Hongkong, la situation de l'Américain devenait précaire. Vendredi, la justice américaine a émis un mandat d'arrêt à l'encontre du jeune homme, inculpé pour espionnage. Des émissaires américains ont fait le voyage jusqu'à Hongkong pour demander aux autorités locales d'arrêter Edward Snowden et de l'extrader vers les Etats-Unis. Sans succès.

    Le gouvernement hongkongais a en effet publié dimanche matin un communiqué expliquant qu'il a laissé le trentenaire quitter le territoire, la demande américaine ne reposant pas sur une base légale. «Les documents fournis par le gouvernement américain ne répondaient pas aux exigeances de la loi hongkongaise. Nous leur avons demandé des informations complémentaires, afin que notre ministère de la Justice puisse décider de la légalité de la demande. Mais le gouvernement de Hongkong n'a toujours pas reçu suffisamment d'informations pour répondre favorablement au mandat d'arrêt. De fait, il n'y a aucune base légale empêchant monsieur Snowden de quitter Hongkong.»

    Un départ orchestré par WikiLeaks

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    «Les Etats-Unis sont révélés être le plus grand voyou de notre temps»

    L'agence officielle chinoise Chine Nouvelle
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    WikiLeaks a indiqué sur Twitter être à l'origine du départ de Snowden. «Nous aidons M. Snowden à obtenir l'asile politique dans un pays démocratique, à obtenir tous ses documents de voyage, et à quitter en toute sécurité Hongkong. Il est accompagné par des conseillers juridiques de WikiLeaks.»

     

    L'organisation fondée par Julian Assange a publié vers 14 heures un communiqué plus complet. On y apprend que Edward Snowden est accompagné de «diplomates» de nationalité inconnue. L'ancien consultant «a requis l'aide de WikiLeaks pour assurer sa sécurité. Lorsqu'il sera arrivé à sa destination finale, sa demande d'asile sera officiellement déposée.»

    Edward Snowden a été aidé par la journaliste britannique Sarah Harrison, qui travaille actuellement dans la cellule juridique de WikiLeaks. Cette dernière est présidée par l'ancien juge espagnol Baltasar Garzon.

    Pékin et Hongkong exigent des explications aux Etats-Unis

    Le jeune homme n'a toujours pas fini ses révélations. Après avoir affirmé que les Etats-Unis, puis le Royaume-Uni, surveillent les communications privées sur Internet, Edward Snowden a assuré au South China Morning Post que les services de renseignement américains espionnent les échanges de SMS en Chine et à Hong Kong. Les principales sociétés de téléphonie chinoise auraient été piratées afin de récupérer ces données.

    La nouvelle a vivement courroucé la Chine, qui a affirmé, par le biais de l'agence officielle du pays, que les «Etats-Unis, qui ont longtemps essayé de se présenter comme une victime innocente des cyber-attaques, se sont révélés être le plus grand voyou de notre temps». Les Etats-Unis «doivent des explications à la Chine et aux autres pays qu'ils sont accusés d'avoir espionné. Ils doivent faire connaître au monde l'étendue et les objectifs de leurs programmes de piratage clandestins».

    Le gouvernement de Hong Kong a également indiqué dans son communiqué révélant le départ d'Edward Snowden qu'elle avait envoyé une requête officielle au gouvernement américain afin d'éclaircir «les informations selon lesquelles les agences américaines auraient piraté les serveurs hongkongais. Le gouvernement hongkongais suivra de près cette question afin de protéger les droit de ses citoyens».


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  • Dernière modification : 24/05/2013 

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    La cybermenace iranienne donne des sueurs froides à Washington

    La cybermenace iranienne donne des sueurs froides à Washington
    © AFP

    Les États-Unis ont accusé, jeudi, des pirates informatiques iraniens d’être à l’origine d’une attaque contre des entreprises américaines du secteur de l’énergie. Washington semble prendre la cybermenace iranienne de plus en plus au sérieux.

    Par Sébastian SEIBT (texte)
     

    Il n’y a pas que le programme nucléaire iranien qui inquiète Washington. Les cyberattaques lancées depuis la République des mollahs commencent à être prises de plus en plus au sérieux côté américain. Des pirates informatiques iraniens ont ainsi récemment réussi à s’infiltrer sur les serveurs d’entreprises américaines du secteur de l’énergie, assure, jeudi 23 mai, le "Wall Street Journal" citant des "officiels américains”. Une opération dont le but était, d’après le quotidien, de “rassembler des informations en vue de potentielles attaques” contre des sociétés qui gèrent la fourniture en électricité de certaines zones ou des pipelines aux États-Unis.

    Réussir à prendre le contrôle de telles infrastructures permettrait, en théorie, aux cyberassaillants de bloquer certaines commandes essentielles comme “le bon fonctionnement d’un générateur d’énergie”, souligne le “Wall Street Journal”. Le pire des scénarios envisagés par les autorités serait la coupure pure et simple de l’électricité dans une ville entière.

    L’Iran nie toute implication. “Nous n’avons jamais mené de mesures de rétorsion aux nombreuses attaques informatiques dont nous sommes victimes”, a déclaré, vendredi 24 mai, Alireza Miryousefi, le porte-parole de Téhéran aux Nations unies.

    Washington est convaincu du contraire et affirme détenir des “éléments techniques” permettant de prouver la responsabilité du régime iranien. Le mode opératoire ressemble en outre à celui d’une autre attaque imputée à l’Iran, en juillet 2012, contre la société pétrolière Saudi Aramco où 3 000 ordinateurs avaient été détruits. Les États-Unis soupçonnent aussi Téhéran d’être derrière une opération qui, depuis 2011, a visé plusieurs banques américaines. Les sites internet de Wells Fargo, JP Morgan ou encore Bank of America ont subi des attaques visant à perturber leur fonctionnement.

    "Plus rien à perdre"

    Mais cette fois-ci, la menace sur le réseau énergétique américain constitue “une escalade dans les activités de ces pirates informatiques iraniens contre les États-Unis”, assure ainsi l’un de ces responsables américains joint par le "Wall Street Journal". Escalade qui a poussé les autorités américaines à réévaluer son classement des cybermenaces, faisant de l’Iran sa nouvelle priorité.

    Jusqu’à présent, la Chine et son armée de cyber-espions était la principale cible des critiques américaines. Mais Pékin “a des relations diplomatiques avec les États-Unis, ce qui devrait empêcher les Chinois de lancer des attaques majeures”, explique au site spécialisé dans l'informatique PCWorld Frank Cilluffo, directeur du Homeland Security Policy Institute (Institut pour la sécurité intérieure). Le régime iranien, de son côté, “n’a plus grand-chose à perdre et peut donc se permettre de mener des attaques bien plus destructrices”, précise Jean-François Beuze, spécialiste français de la cybersécurité contacté par FRANCE 24. D’autant que Téhéran est convaincu que les États-Unis ont frappé les premiers : l’Iran les soupçonne d’être, avec Israël, à l’origine du virus Stuxnet qui avait ralenti le programme nucléaire iranien en 2010.

    La menace iranienne est prise d’autant plus au sérieux que cette nouvelle attaque montre une montée en puissance des capacités cyber-offensives de l’Iran. “L’année dernière, les autorités américaines minimisaient le danger iranien sur le terrain cyber, ce n’est plus le cas aujourd’hui”, souligne le "Wall Street Journal". Le mois dernier l’administration Obama a tenu une réunion consacrée au danger que l’Iran représentait dans le cyberespace et doit de nouveau se pencher sur la question dans les semaines à venir. “Mais il est difficile de savoir comment y répondre car l’Iran est déjà soumis à des sanctions économiques très importantes”, souligne Jean-François Beuze.


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  • Dernière modification : 20/03/2013    lien

    Corée du Nord : cyber-armée fantoche ou menace réelle ?

    Corée du Nord : cyber-armée fantoche ou menace réelle ?
    © D.R.

    Après les attaques informatiques dont la Corée du Sud a été victime mercredi, tous les regards se tournent vers le régime de Pyongyang. Mais la Corée du Nord dispose-t-elle d’une cyber-armée capable de telles opérations ?

    Par Sébastian SEIBT (texte)
     

    En Corée du Sud, tous les regards sont tournés vers Pyongyang. Après le piratage, mercredi 20 mars, des serveurs informatiques de deux banques et trois chaînes de télévision sud-coréennes, les soupçons se portent sur le voisin du nord. Certes, Séoul refuse de spéculer sur une éventuelle implication de la Corée du Nord dans cette attaque informatique qualifiée d’importante. Mais le moment choisi par ces cyber-pirates ne semble pas anodin : la semaine dernière, la régime communiste a accusé les États-Unis et la Corée du Sud d’avoir perturbé “pendant deux jours l’accès à l’Internet depuis la Corée du Nord”, rappelle le blog spécialisé North Korea Tech.

    L’attaque du 2 mars, qui a paralysé pendant quelques heures les opérations en ligne sur les sites de deux banques sud-coréennes et perturbé le fonctionnement des chaînes visées, pourrait ainsi être une mesure de représailles.

    Ce n’est en outre pas la première fois que le régime nord-coréen est suspecté d’être derrière des cyber-attaques contre des infrastructures au sud de la frontière entre les deux pays. Deux piratages informatiques, en juillet 2009 et avril 2011, avaient déjà visé des banques de Corée du Sud ainsi que le système d’approvisionnement en eau. Des sociétés américaines de sécurité informatique et les enquêteurs sud-coréens avaient dans les deux cas relevés des “indices” semblant impliquer le régime de Pyongyang. De son côté, la Corée du Nord a toujours nié être responsable de telles cyber-aventures.

    Comme la Syrie et l’Iran ?

    L’idée d’une cyber-menace nord-coréenne contre Séoul peut, il est vrai, sembler saugrenue. Le pays, l’un des plus fermés au monde, est décrit comme largement à la traîne technologiquement. Il semble donc mal équipé pour s’attaquer à la Corée du Sud, l’un des États les plus connectés au monde et berceau de géants mondiaux de l’informatique comme Samsung ou LG.

    Mais d’autres pays isolés sur la scène internationale, comme la Syrie et l’Iran, disposent de cyber-armées plus ou moins ouvertement liées aux régimes en place. L’Armée électronique syrienne a ainsi revendiqué ces derniers mois des attaques réussies contre plusieurs sites de médias dont France 24 ou encore le "Wall Street Journal".

    L’Armée syrienne électronique ou les groupes de hackers qui soutiennent le régime iranien sont clairement identifiés. Rien de tel cependant pour la Corée du Nord. Il n’existe aucune information ou presque sur les éventuelles capacités cyber-offensives de ce régime autoritaire d’inspiration communiste.

    L’office n°91

     
    Une vue satellite sur Google Maps du supposé Office n° 91 censé abriter les cyber-soldats nord-coréens.

    Les seules données proviennent de sources ouvertement hostiles à Pyongyang et qui mettent en garde contre une montée en puissance de la Corée du Nord en matière de cyber-sécurité. La Corée du Sud estime ainsi que les cyber-soldats du Nord sont placés directement sous le commandement du “Bureau général de reconnaissance” qui est le service d’espionnage nord-coréen. Depuis l’accession de Kim Jung-un au pouvoir en avril 2012, cette unité est passée de 500 à 3 000 hackers à plein temps d’après les spécialistes sud-coréens.

    Un dissident nord-coréen a même fourni lors d’un séminaire à Séoul sur la cyber-sécurité, en 2011, un photo de l’”office n°91”. Cet ensemble de bâtiments situé dans le quartier de Mangkyungdae dans la capitale nord-coréenne abriterait, d’après lui, cette cyber-armée à la solde de Pyongyang.

    De leur côté, les États-Unis se montrent peu disert sur les détails de la “cyber-menace” de la Corée du Nord. Le général James Thurman, commandant en chef des forces américaines basées en Corée du Sud, s’est contenté de souligner, en octobre 2012, que Kim Jung-un “effectuait des changements pour renforcer les capacités du pays en matière de cyber-sécurité”. Il a néanmoins reconnu que pour l’instant le cyber-arsenal de la dictature “n’était pas encore significatif”.


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    Le hacker le plus recherché du Japon nargue la Police avec un jeu de piste

    source Gizmodo
    <time datetime="2013-01-19" pubdate="">19 janvier 2013</time> - Par Corentin Vilsalmon

     

    On savait les hackers intelligents et souvent très joueurs, mais on dirait qu'au Japon ils ont un champion du monde ! Recherché depuis plusieurs mois par la police, ce hacker japonais (anonyme, bien sûr) s'amuse à narguer les autorités plutôt que de faire profil bas.

    C'est un feuilleton multimédia et policier qui se déroule depuis déjà plusieurs semaines au Japon. À l'origine de tout ça, un hacker Japonais, génie informatique, recherché par les plus hauts services de la Police japonaise. Pour des raisons qu'on ignore encore, ce hacker a envoyé plusieurs mails de menaces d'attentats à la bombe contre des boutiques, compagnies aériennes et quelques écoles du pays. Des menaces prises très au sérieux, d'autant plus que les petits-enfants de l'Empereur Akihito semblent être scolarisés dans l'une de ces écoles.

    S'ensuit alors plusieurs mois de traque sur Internet comme dans la vie réelle pour découvrir l'identité de ce hacker surnommé Enkaku, devenu l'ennemi n°1 du pays. Mais pas du tout effrayé par les recherches de l'Agence de Police Nationale (les services de renseignements intérieurs du Japon), l'individu préfère s'amuser à jouer à la chasse au trésor avec les autorités. Le trésor, c'est lui, le jeu de piste se faisant par le biais de la presse, dans un premier temps. L'homme ou la femme recherché a envoyé plusieurs mails codés à divers journaux. Des mails qui semblaient donner des indices menant à la véritable identité d'Enkaku. Pendant ce temps, la police avait déjà obtenu quatre aveux de suspects, tous finalement innocents...

    Le dernier chapitre de cette folle histoire s'est déroulé il y a quelques jours, pour le passage à la nouvelle année. Enkaku a envoyé une invitation aux autorités pour se rendre sur une petite île près de la capitale Tokyo. "Ceci est une invitation à un nouveau jeu" a-t-il écrit. Le sésame promis par le hacker a donc été retrouvé... autour du cou d'un chat (dont vous pouvez voir la capture dans la vidéo plus bas) ! Dans la carte mémoire en question se trouvaient les détails du virus qu'a utilisé Enkaku pour pirater les ordinateurs et envoyer ses menaces. Un message a été retrouvé sur cette même carte mémoire, expliquant que finalement, ce serait le dernier. La police japonaise ne risque donc pas de le retrouver de sitôt, malgré l'inédite récompense (25 000€ environ) offerte pour sa capture. Pour l'instant Enkaku semble donc s'être complètement volatilisé.

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    On est plutôt amusé par ce jeu de piste grandeur nature, malgré les menaces terroristes du hacker. Pensez-vous qu'il refera surface ou qu'il pourra être arrêté un jour ?


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  • Ebooks : une cour d'appel suspend le litige contre Google

    Une cour d'appel new-yorkaise a suspendu le traitement de la plainte lancée contre Google au sujet de sa stratégie d’ebooks.

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    Une cour d'appel new-yorkaise vient de suspendre le traitement d’une plainte contre Google sur la mise en ligne de millions d'ouvrages par des écrivains et éditeurs américains. Google a déposé une motion pour suspendre le traitement de la plainte « dans l'attente du résultat de l'appel » qu'il a déposé face au classement en plainte en nom collectif du dossier.
    Dans un document publié lundi, la cour d'appel note que les parties adverses ont accepté cette demande, et par conséquent « acceptent cette demande de suspension ». Google avait demandé fin juillet à un tribunal fédéral de rejeter une plainte déposée par les écrivains et éditeurs américains contre son projet de mise en ligne de millions d'ouvrages, affirmant que ces numérisations « ne visent pas à remplacer » les livres.
    Le syndicat des auteurs et l'association des éditeurs américains ont engagé des poursuites en 2005 pour violation du droit d'auteur. Un accord entre les parties prévoyant le paiement de 125 millions de dollars d'indemnisation par Google et la création d'un registre des droits sur les livres avait été conclu en 2008, mais un juge l'a ensuite rejeté.

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